Les associés

 

Qui sont nos associés et comment le devenir ?

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Que faire avec de la poudre de charbon à Madagascar ?  avril 2024

Sœur Clarisse NOTAHINA nous présente une action locale pour recycler et réutiliser nos matières premières, comme le préconise le pape François qui nous invite de prendre soin notre maison commune. On retrouve également ces recommandations dans les 7 Règles franciscaines que vous pouvez voir ci-dessus.

A Madagascar, plusieurs personnes utilisent le charbon pour faire cuire la nourriture. Souvent au fond des sacs de charbons, il reste de la poudre. Les religieuses récupèrent cette poudre de charbon, de la terre d’argile, du son de paddy (cosse du riz). Elles mélangent le tout puis forment des petites boules qui vont sécher quelques jours au soleil. Une fois sèches, ces boules sont utilisées parmi des morceaux de charbons comme combustible, puis les marmites sont posées dessus pour cuisiner.

L’astuce est de ne surtout pas utiliser seulement les boules reconstituées, sinon la chaleur puissante qui s’en dégage perce les marmites !

Reboisement École Saint François février 2024 :

Voici les photos des élèves de l’école Saint-François à Maintirano pendant la journée des écoles en l’honneur de la planète.

Les jeunes sont accompagnées de sœur Josiane, directrice de l’école pour vivre le Laudato ‘Si.

Que faire du charbon (2)
Que faire du charbon (1)
Que faire du charbon (3)

Plateforme d’actions Laudato Si’

Prendre des mesures concrètes pour prendre soin de notre maison commune. La plateforme d’action Laudato Si’ offre à l’Église des outils et des ressources pour le voyage vers une durabilité totale dans l’esprit de l’écologie intégrale.

https://plate-formedactionlaudatosi.org/

Il était une fois … la Terre

Présenté du 24 juin au 10 octobre 2022 au parc du Bois-de-Coulonge à Québec, cette merveilleuse exposition-hommage à la vie à fait l’unanimoté parmi les Petites Franciscaines de Marie qui ont pu y aller ! Des œuvres qui sont un plaisir pour les yeux, mais aussi un rappel de la fragilité de la vie, un hymne à la Terre.

C’est une histoire racontée par 6 millions de fleurs et plantes, 200 mosaicultures, conçues par 100 horticulteurs qui sont des artisans créatifs.

Qu’est-ce qu’une mosaïculture ?

Eh bien il s’agit d’une «technique de jardinage qui consiste à créer des massifs fleuris en associant certaines couleurs de floraison et formes de feuillage pour créer des motifs, des dessins ou des textes». Une mosaïculture, c’est aussi une forme d’art en constante évolution, des œuvres qui sont toujours vivantes, le résultat de grandes passions.

Y étaient représentés le monde polaire et marin, les espèces menacées, la nation huronne-wendat, la ferme, et la maison du lieutenant gouverneur. Tous les mammifères marins de l’œuvre Le Fleuve aux Grandes Eaux vivent dans le Saint-Laurent. Par contre, plusieurs sont malheureusement menacés ou en voie de disparition.

? La vie sur la Terre est fragile, il faut en prendre soin.

  • Le Berger, en plantant des arbres sur un site désertique, prouve qu’il faut toujours garder espoir.

(Cliquez sur la photo pour lancer le diaporama)

Importance de l’environnement

Les personnes associées et les PFM se soucient de la planète, notre « maison commune ».

Nous vous invitons, jeunes et moins jeunes, à visionner ces courtes vidéos qui illustrent bien l’encyclique du Pape François et les préoccupations de la cop26.

Le projet du Laboratoire vivant en est une illustration contemporaine. Le travail de la terre est valorisé pour permettre une sorte de réintégration sociale. Le potager est là pour faire vivre le patrimoine social, pour présenter le développement de l’agriculture qui a aussi une fonction d’éducation. On n’est pas dans une optique de grosse production maraichère, mais c’est une installation qui contribue à faire vivre les valeurs des PFM ; le potager est un support qui permet de faire travailler des jeunes, des groupes en réinsertion sociale, qui participent à des ateliers pour réapprendre à travailler la terre jusqu’à la récolte. Cela est propice à une valorisation personnelle. C’est une sorte d’éloge de la lenteur, permettant de se reconnecter entre individus et avec la nature, pour tendre vers une diversité et une autonomie alimentaire. Les parcelles d’agriculture vont prendre de l’ampleur sur un hectare de terrain derrière Maison Mère.

Arbre 13sep2020
Arbre 13sep2020
Les associés PFM se soucient de la planète
l'esprit franciscain