Les Fondatrices ont fondé cette communauté dans le désir de se dévouer «au soin et au soulagement de toutes les misères humaines». (Constitutions n°1)
L’assistance aux démunis.
Prendre soin des autres et des plus vulnérables, ce n’est, pour les Petites Franciscaines de Marie, pas un simple vœu.
Voici le témoignage de sœur Adrienne Lamoureux, qui apporte diverses contributions pour aider la population de Worcester (USA).
Ici nos sœurs Rena Mae et Hilda Chasse nous livrent leur témoignage.
Here is Sister Rena Mae where she’s sorting and getting some sewing and knitting ready to give to Abby House’s Thrift Shop. Funds from the Thrift Store help with the expenses of the Abby’s Shelter for women and children in need.
The goods for Abby’s which she prepared are mainly tote bags, bonnets, mittens and scarves.
These are the product of her “recreational” activities.


Sr. Hilda sorting clothes given by a friend – preparing them to be dropped off at a Thrift Shop

Sr. Hilda’s sewing ability creates great baby blankets which are directed to Abby’s Thrift Shop and also make wonderful gifts.
Présentation du travail social dans le quartier d’Anosibe, avec la possibilité d’aider à Madagascar dans l’enseignement, les dispensaires et divers engagements auprès des populations locales (témoignage de sœur Gisèle Veilleux) :
Témoignage de sœur Rena Mae Gagnon
Une fraternité des Petites Franciscaines de Marie aux États-Unis toujours en tenue de service
Sœur Rena Mea Gagnon, de Worcester, partage avec vous les humbles gestes de la vie courante où chacune continue de se faire proche de son prochain comme interpelle l’encyclique du pape Fratelli Tutti par la figure du Bon samaritain.
« À notre arrivée dans cette paroisse, en 2015, sœur Hilda Chasse et moi-même avons créé des liens avec une famille de la République Centrale d’Afrique qui parlait français et qui demeurait dans le Cameroun avant d’immigrer à Worcester, USA. Les parents ont 7 enfants. Le dernier est un enfant aux besoins spéciaux (hydrocéphalie).
Peu de temps après leur arrivée ce petit dernier a subi une opération et un suivi qui a nécessité plusieurs visites à l’hôpital. La famille n’a pas de voiture : j’ai conduit les parents à leurs rendez-vous médicaux et dentaires pour la famille. Sœur Hilda conduisait la mère à la buanderie du coin, et nous aidions à payer cette dépense. J’agis aussi comme interprète et comme agent de liaison avec l’école. Les parents travaillent de nuit et sont difficiles à rejoindre durant la journée.
Lorsqu’il est possible, nous essayons d’amener une des filles âgée de 12 ans, à notre appartement pour différents projets. Elle aime cuisiner : c’est toujours une grande joie pour elle d’apporter le résultat chez elle pour partager avec sa famille. Avec les conseils de sœur Hilda, elle a fait récemment un tablier pour la fête de sa mère. Je lui ai enseigné durant l’année comment crocheter, et elle s’est fait un foulard pour elle-même. »
Vous pouvez découvrir ici l’article intégral dans la revue Écho de la famille franciscaine du 26 mai 2021
Insertion sociale à Madagascar
A Madagascar, les sœurs accompagnent la population dans l’apprentissage d’activités manuelles qui leurs procurent l’autonomie et qui peuvent déboucher sur un métier